Un jour de novembre, un geste instinctif — fruit de provocations et sans conséquences — marque le début de mon Calvaire. Cinq procédures, dont une pénale, l’éloignement de mon domicile et de mes enfants, une demande de divorce pour faute, des exigences financières démesurées.
Des avocats sans scrupules, des associations dont le seul but est de te convaincre que tu es le problème et qu’eux peuvent te “rééduquer”, et puis une chape de silence qui t’enveloppe : tes paroles sont ignorées, ta personne humiliée, marqué à vie comme homme violent.